Bien entendu, ils sont tenus de rédiger la constitution, mais aucun délais ne leur est imposé. La future constitution peu très bien voir le jour qu'en 2030.

Étant donné les affiliations des listes déposées et les partis politiques qui les réunis on est en droit de s'inquiéter pour ce pays qui peine à se construire depuis la chute de la monarchie il y a six ans déjà.

Comme en 2015-2016, ces conditions assez ambiguës sont le fait d'une poignée de personnes Justine de Salamille à leur tête. Une poignée de gens qui dirigent actuellement le pays dans l'ombre et sur ordre de l'assemblée des Maires.

Ces élections donneront certes une légitimité à la nouvelle assemblée, mais rien ne garantit qu'elle aille dans la même direction que l'assemblée sortante.

Assemblée qui, rappelons-le a réussi l'exploit - pour la Mandelsy - de s'entendre sur un projet de constitution. Ce projet pourrait ou non être balayé par la nouvelle assemblée. #MuniMand2021